La Ville de Paris na pas des intérêts financiers majeurs à voir se multiplier les PV.
Elle ne récupère que 25 % du montant des PV. Une somme non négligeable d’environ 50 millions par an, mais qui en fait couvre à peine le fonctionnement des horodateurs. N’oublions pas que la Ville finance très fortement la Préfecture de Police et donc les salaires de nombre d’agents.
Ce qui est moins connu du grand public, c’est que les transports en commun sont les premières victimes de la chute des PV. En effet, le STIF (le Syndicat des Transports d’Ile-de-France) touche 50 % du montant récolté.
Commentaires