L’UMP a longtemps crié au mensonge. Beaucoup de Parisiens ont également douté. Pourtant Bertrand DELANOË a tenu sa promesse électorale de 2001 : il s’était engagé à ne pas augmenter les impôts des Parisiens.
Promesse tenue !
Lors du Conseil de Paris des lundi et mardi 25 avril, nous avons adopté les quatre taxes municipales et les avons conservées au même niveau qu’il y a six ans (8,8 % pour a taxe d’habitation ; 7,11 % pour la taxe foncière bâti ; 13,5 % pour le foncier non bâti et 12,35 % pour la taxe professionnelle).
Cela fait de la Capitale l’une des Villes - et l’un des départements - où les impôts sont les plus faibles.
Gageure supplémentaire, Bertrand DENAOË a tenu ses engagements malgré les charges supplémentaires dont l’Etat s’est débarrassé vers les collectivités locales – cela explique que la plupart des départements ont augmenté leur fiscalité – et l’augmentation constante de la dette de l’Etat vis-à-vis de la Ville de Paris (non remboursement des charges du RMI et non compensation de l’APA notamment).
Réhabiliter la politique, cela passe d’abord par des promesses tenues.
Et c’est la meilleure preuve que Bertrand DELANOË sait bien gérer et est attentif aux deniers publics bien plus que ses prédécesseurs.
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